Je m’appelle Oscar Ezama. J’ai 47 ans, je suis père de deux enfants et je vis dans les Asturies, un paradis naturel, vert et montagneux dans le nord de l’Espagne, au bord du Golfe de Gascogne. Je suis architecte d’intérieur et je dirige un studio de design d’intérieur disposant d’une boutique et d’un atelier de menuiserie. Le magasin a été fondé par mon arrière-grand-père en 1892 et c’est l’un des plus anciens d’Espagne. Le travail et la famille occupent tout mon temps, mais chaque matin, je me lève très tôt pour faire de la moto. J’aime voir le soleil se lever dans les montagnes et rouler seul sur les chemins de terre aux premières lueurs du jour. Les paysages, les montagnes et la nature sont ma plus grande évasion, le meilleur remède contre la routine. Dans ma jeunesse, j’ai conduit plusieurs motos : des motos de cross et de trail, des moteurs 2 temps, jamais au-delà d’une 125cm3. Ma dernière moto était une Cagiva trail de 1990 ! Un grave accident m’a tenu à l’écart du monde du deux roues pendant plus de 25 ans. Mais quand j’ai découvert Brixton, ce fut le coup de foudre. Une seconde jeunesse.

1. En un mot, pourquoi conduis-tu une moto ?

L’aventure ! Je n’utilise pas ma moto pour travailler ni me déplacer en ville. Je cherche des paysages et des petites routes difficiles d’accès pour pouvoir profiter de la montagne. Chaque jour, j’ai une nouvelle aventure avec ma petite Brixton.

2. Qu’est-ce qui a attiré ton attention sur Brixton Motorcycles ?

C’est une marque jeune, conçue avec soin et sans négliger la tendance rétro du moment. L’approche commerciale de la marque me semble parfaite ;  elle s’adresse aux jeunes à la recherche d’une première moto, ainsi qu’aux personnes comme moi – des motards d’âge moyen – qui veulent renouer avec leur vieille passion. J’aime particulièrement le fait que la marque se soucie d’avoir une grande présence sur les réseaux sociaux.

3. Quelle Brixton conduis-tu ? Quels sont ses points forts ?

La posta Brixton est une Cromwell 125 verte et brune ; c’est la plus jolie de toutes les Brixton ! J’ai hésité, car la Felsberg me semblait plus adaptée à une utilisation tout-terrain, mais pour moi, le design et l’esthétique sont fondamentaux et les lignes rétro de la Cromwell, avec ses couleurs et ses chromes à l’image des motos anglaises classiques, ont été déterminantes dans mon choix. J’ai changé les pneus d’origine pour quelque chose de plus typé enduro. J’ai également monté une chaîne robuste et un pignon arrière de 47 dents pour raccourcir légèrement le rapport de transmission et améliorer l’accélération. La moto est légère, maniable, robuste et elle aime les défis – c’est un compagnon infatigable pour les aventures les plus épiques. En montant un système d’échappement Arrow, j’ai également pu améliorer considérablement sa puissance.

4. Depuis combien de temps fais-tu de la moto ?

J’ai acheté mon Brixton le 11 juin dernier. Cela fait cinq mois et 7 500 km de plaisir !

5. Pourquoi as-tu appelé ta moto “La Posta” ?

En espagnol, « posta » signifie « petite balle de plomb », et l’expression populaire “Rapide comme une Posta” était utilisée par mes grands-parents quand, enfant, je filais devant leur maison avec mon vélo. Il y a une tête de bélier sur le réservoir, qui illustre mon fort penchant à quitter la route et à gravir les montagnes.

6. Quel est le tour le plus incroyable que tu aies effectué ?

Il m’est arrivé de conduire dans un épais brouillard, la nuit, sous la pluie… dans des conditions extrêmes. J’ai quitté les chemins carrossables pour escalader le flanc de la montagne, j’ai traversé des ruisseaux et j’ai été poursuivi par des chiens de berger, au milieu de nulle part. J’ai aussi réussi à m’embourber, mais j’ai toujours pu rentrer chez moi avec le sourire. Je suis un rider de l’extrême, la plupart de mes itinéraires sont un peu fous !

7. Quel est ton trip le plus long jamais réalisé avec ta Brixton ?

En septembre, j’ai fait un voyage de 350 km pour rejoindre un autre rider Brixton, @the sputnikBrixton. Nous nous sommes rencontrés à Ourense (Galice) et avons parcouru 120 km supplémentaires à travers les canyons du Rio Sil, en empruntant des routes de montagne dans un cadre naturel spectaculaire. Nous avons parcouru 470 km en une journée, sans faire de pause. Au retour, nous avons fait plus de 800 km en un peu plus de 24 heures – un sacré défi pour une 125. Je prévois de faire plus de 1 000 km en un seul jour cet été.

8. Le plus bel endroit où tu as été avec ta Brixton ?

On ne cherche pas les plus beaux endroits, ce sont eux qui viennent à vous sans vous prévenir ! Un lever de soleil dans les montagnes au-dessus d’une mer de nuages est toujours un spectacle à couper le souffle. Les Picos de Europa, dans le Parc Naturel des Asturies, sont une authentique merveille, autant pour leurs paysages de montagne que pour la proximité avec la mer. Les vues sont spectaculaires.

9. Tu préfères rouler sur les routes du littoral ou dans les cols de montagne ?

La montagne, toujours !

10. Le meilleur endroit pour tomber en panne d’essence ?

Sérieux ? Il est impossible de vider le réservoir ! Je fais plus de 400 km sans ravitaillement !

Photos: Oscar

Oscars Motorcycle: Cromwell 125

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